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GTO Shonan 14 Days - Tome 8 - tôru fujisawa

Note : 5

15 avis

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      Note :


      Avis sur Gto Shonan 14 Days - Tome 8 de tôru fujisawa Format Tankobon  - Livre Manga

      Note : 5 15 avis sur Gto Shonan 14 Days - Tome 8 de tôru fujisawa Format Tankobon  - Livre Manga

      Les avis publiés font l'objet d'un contrôle automatisé de Rakuten.


      Présentation Gto Shonan 14 Days - Tome 8 de tôru fujisawa Format Tankobon

       - Livre Manga

      • Auteur(s) : tôru fujisawa - FUJISAWA Tohru
      • Editeur : Pika
      • Saga : GTO
      • Collection : Shônen
      • Langue : Français
      • Parution : 31/10/2012
      • Nombre de pages : 192
      • Nombre de livres : 1
      • Expédition : 190
      • Dimensions : 18 x 12.3 x 1.5

      Résumé :
      Sous prétexte de mener une politique de rapprochement parent-enfant, le maire de la ville a forcé une rencontre entre Sakurako-chan et son père, un homme extrêmement violent. Enfant, la petite vivait heureuse avec Aya, sa mère, jusqu'à ce que son père les retrouve. Commence alors pour la jeune femme et sa fille une véritable descente aux enfers : essayer de fuir le foyer et subir encore et toujours les violences de cet homme. C'est alors qu'Aya décide de confier sa fille au White Swan pour la protéger de ce père abusif. Ayamé et Onizuka sont bien décidés à empêcher cette rencontre mais alors qu'ils tentent de cacher Sakurako, le père surgit avec un avocat à ses côtés..

      Biographie:
      1967-1989 : Les débutsTôru Fujisawa est né en janvier 1967, à Hokkaido. Son enfance est bercée par lesmangas et les animes, et il crée son tout premier manga dés l'école primaire ! Durant toute sa scolarité, Tôru Fujisawa est un élève moyen et plutôt dissipé mais il obtient tout de même quelques prix dans les matières artistiques. Après le lycée, il lance un fanzine avec des amis. C'est le déclic, il décide de devenir mangaka. Il s'installe alors à Tokyo où le magazine Fresh accepte de prépublier son premier manga, Love you, en 1989. 1990-2002 : Une décennie de succèsEnsuite, les succès s'enchaînent. Tout d'abord avec Adesugata Junjô Boy, l'histoire d'un garçon que son père oblige à se déguiser en fi lle. Puis avec Shonan Junaï Gumi (Young GTO) qui marque le début des aventures de son personnage fétiche Eikichi Onizuka et de son compère, Danma Ryuji. Après 31 tomes et 6 ans de travail, Fujisawa met un terme à la série pour se consacrer à la rencontre d'Onizuka et Ryuji dans Bad Company. En 1997, il débute la série qui lui vaudra une renommée internationale : GTO (Great Teacher Onizuka), dans laquelle Onizuka devient le professeur le plus anticonformiste du Japon. Prépublié dans Shonen Magazine, le titre connaît un immense succès et remporte le prix Kodansha. 2003 à 2006 : Un virage sombre et sanglantA peine GTO achevé, Fujisawa se lance dans une série plus sombre : Rose Hip Rose, qui mêle humour, action et hémoglobine, suivie d'une histoire paralléle : Rose Hip Zero. Au même moment, Fujisawa participe à la série Wild Baseballers en tant que scénariste. La même année, il prépublie également Himitsu Sentai Momoider dans le Weekly Young Jump Magazine. Fujisawa débute ensuite une série en trois volumes qui mêle enquête policière et histoire fantastique : Tokkô. 2007 à 2011 : Retour aux sources ou début de nouvelles aventures ?En 2007, Fujisawa amorce un nouveau virage dans sa carrière, en revenant à l'univers scolaire avec Kamen Teacher, l'histoire d'un professeur aux méthodes peu conventionnelles, chargé d'enseigner à une classe de voyous ! A peine la série achevée, il enchaîne avec un nouveau titre, Reverend D. En 2009, c'est le meilleur professeur de tous les temps qui fait son grand retour avec GTO Shonan 14 days, pour le plus grand plaisir de tous les fans.

      Critique:
      Tandis que le maire de la ville, pour gagner plus facilement les prochaines élections, met en place un plan visant à supprimer les centres d'accueil et à vanter les mérites de la vie de famille, Onizuka et les deux charmantes gérantes du Black Swan doivent faire face à un nouveau problème : le père de la petite Sakurako est de retour, et est bien décidé à récupérer sa fille, même si pour cela il doit employer les pires moyens possibles. De nouveaux problèmes de taille tombent sur la tête d'Onizuka, et si, dans les faits, tout ce nouvel arc est assez vite traité et use de grosses ficelles très faciles, on reste surtout séduits par les talents de conteur d'un Tôru Fujisawa qu'on n'avait plus vu aussi bon depuis longtemps.

      Ici, le mangaka va à l'essentiel et évite dans un premier temps les rebondissements too much qu'on avait pu si souvent lui reprocher. En quelques pages, Fujisawa parvient à faire tomber les unes après les autres des révélations fracassantes enfonçant toujours plus l'ambiance dans un registre dramatique. L'enfance douloureuse de Sakurako marque facilement, et son père devient vite détestable, tandis que l'auteur met en exergue un sujet extrêmement grave et loin d'être facile à aborder : l'abus sexuel sur mineur. Pour ce faire, on a d'abord droit à un Fujisawa au meilleur de sa forme, qui évite le voyeurisme facile et préfère faire passer les moments les plus marquants en se centrant sur les réactions de ses personnages. Ainsi, le choc passe surtout par quelques pages montrant bien la panique et la soumissions aussi effrayantes que touchantes de la pauvre Sakurako. L'ensemble sonne plutôt juste, d'autant que l'exagération autour des prouesses d'Onizuka est absente, le caractère spontané et franc de notre héros étant destiné à lui jouer ici un bien mauvais tour.
      Seuls regrets : la facilité avec laquelle tout se termine, l'aspect un peu too much qui refait son apparition autour des manigances d'une Urumi qui, une nouvelle fois, vole un peu la vedette à notre cher prof, et les rebondissements très faciles qui y sont liés (ne cherchons pas à savoir où la miss a eu son costume de flic et comment elle a pu si facilement se faire passer pour l'un d'eux et placer les faux billets et l'imprimante).
      En somme, on n'a pas là un sommet scénaristique, mais les pires défauts de l'auteur sont évités, et l'essentiel est passé : la douleur et les craintes de la touchante Sakurako marquent facilement, l'horreur de l'abus sexuel sur mineur bel et bien soulevé.

      Après cet arc parfois très cruel et dur, Fujisawa a le bon goût de détendre un peu l'atmosphère en nous proposant ces petits instants plus axés tranches de vie dont il a le secret. Ainsi, tandis que l'on assiste à la prise de conscience des deux gérantes du Black Swan tristes à l'idée de bientôt voir Onizuka repartir, nous retrouvons les déboires de ce cher Uchiyamada, amené à faire connaissance de son alter ego... On se disait que ces deux-là étaient faits pour se rencontrer tant ils se ressemblaient, Fujisawa exauce notre souhait et le fait avec beaucoup d'humour, mais aussi avec émotion, car au bout d'un moment, on finit par être touché par les malheurs familiaux s'abattant les uns après les autres sur le pauvre sous-directeur cinquantenaire, qui permet à son tour de faire ressortir quelques problèmes sociétaux, avant que les aventures d'Uchiyamada et du Black Swan ne se rejoignent pour ce qui sera sans doute la dernière ligne droite de la série : le Black Swan est en danger, le plan du maire est en route, et celui-ci est bien décidé à profiter de la moindre situation pour mettre en avant les jolies valeurs familiales destinées à lui faire gagner les élections.

      Et ça tombe bien : la mère de la jeune Ikuko, séparée de sa fille depuis quelques années après l'avoir longuement maltraitée, est décidée à prouver qu'elle a changé pour récupérer sa fille... Mais a-t-elle vraiment changé ? Quoi qu'il en soit, c'est l'opportunité rêvée pour le maire...
      Ainsi s'enclenche la dernière ligne droite, le dernier jour d'Onizuka au Black Swan, face à un maire que Fujisawa exploite merveilleusement bien. De son physique à ses discours, le mangaka parvient à rendre le personnage caricatural juste comme il faut, ni trop ni pas assez, et profondément tête à claques, si bien qu'il sert parfaitement les nombreuses petites piques envoyées à l'ensemble d'une société pas si éloignée que ça de la réalité : discours politiques totalement démago, sans vrai fond mais brossant tout le monde dans le sens du poil, manipulation facile de médias qui ne cherchent pas à voir plus loin... Ce qui en découle, c'est une véritable opposition de valeurs entre ce politicard hypocrite et un Onizuka comme on l'adore : on se régale en voyant notre héros s'opposer envers et contre tout à cet homme cachant ses ambitions derrière ses belles paroles, on retrouve ici un Onizuka mis en valeur par des phrases fortes, bourré de valeurs, prêt à tout pour lutter contre les injustices cachées. On est séduits par le retour de cet homme se souciant réellement de ses élèves, au-delà des surenchères de rebondissements too much longtemps observées sur cette série. Cet Onizuka-là, c'est celui qu'on adore, celui qui nous a longtemps manqués.

      Pour parfaire le tout, Fujisawa parvient fort bien à jouer sur les autres tableaux : un peu caricaturale dans les faits mais suffisamment nuancée dans le fond, la mère d'Ikuko met en avant les horreurs que peut engendrer une faiblesse psychologique due à des pressions quotidiennes toujours plus grandes.
      Quant à Ikuko elle-même, le petit focus sur la façon dont elle voyait les choses quand elle était petite sonne juste, son souhait de repartir de l'avant avec sa mère et sa volonté de désormais assumer son corps meurtri présentent une jeune fille courageuse et attachante. La chute n'en sera alors que plus marquante, cruelle, au détour d'une avant-dernière page qui est sans doute la plus forte de toute la série.

      En somme, ce huitième tome de GTO Shônan 14 Days se dresse sans mal comme le meilleur de la série. Le déroulement des choses y reste classique et prévisible, mais Fujisawa y laisse tomber la surenchère de rebondissements too much pour mieux se recentrer sur l'essentiel, et pour mieux jouer sur des caricatures plus fines, qui permettent de bien mettre en avant les petites critiques d'une société complètement folle et les belles valeurs d'un Onizuka qu'on n'avait pas vu aussi excellent depuis longtemps.
      Koiwai

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