Play Boy - Debré Constance

Note : 5 Sans chichi

par bazou-22il (Voir ses avis) le 21/06/2018

j'ai aimé son franc-parler. Sa vie, son homosexualité dont on ne sais si elle est compliquée. En tout cas elle est assumée. Une personne torturée sûrement qui n'a probablement pas trouvé l'amour... mais qui ne renonce pas. On la dirait Blasée, elle est surtout marquée par l'histoire familiale et elle cherche son "autre" sans vraiment la chercher, quelque part un peu passive, cruellement fataliste, un poil défaitiste, un brin de je-m'en-foutiste...et de la noirceur au fond de l'âme.

Note : 5 je pose ça là et démerdes-toi

par Armand-Noël (Voir ses avis) le 17/09/2024

J'ai vraiment beaucoup aimé ce livre que j'ai lu presque par accident, très éloigné de mes genres de prédilection. Les phrases courtes, coupantes, porteuses de vérités crues m'ont emporté et m'ont poussé à le lire d'une traite.

Note : 5 Play boy

par menager69 (Voir ses avis) le 15/02/2023

Livre en très bon état, reçu rapidement.

Note : 5 Constance Debré

par abm1984 (Voir ses avis) le 30/03/2022

Naissance d'un écrivain. Constance Debré raconte sa "conversion" au lesbianisme.

Note : 5 Parfait !

par lhdelr (Voir ses avis) le 27/01/2022

Livre reçu en temps et en heure, en parfait état. Rien à redire !

Note : 4 Journal intime déguisé en roman d'une ''fille de'' qui s'exhibe

par alainpmp7490 (Voir ses avis) le 16/08/2021

Journal intime déguisé en roman d'une "fille de" qui s'exhibe
On est dans l'aristocratie de l'aristocratie, c'est à dire celle qui par ennui se vautre dans la débauche et la provocation en se faisant des frayeurs à se ruiner pour ressembler aux pauvres ou jouer à la loubarde à tatouages au Flore à Saint Germain, comme Constance dont les parents aristo drogués fauchés ont pris soin de l'affubler d'un prénom connoté de la caste (elle le note elle-même) car on reste entre soi, conscient de sa supériorité inscrite dans les gênes ou presque. Constance se la joue désabusée lucide intelligente, s'auto-dénigre et dénigre tout le monde sauf sa jolie maman mannequin disparue trop tôt qu'elle pare de toutes les vertus. Elle crache sur son grand père de ministre en le ridiculisant tout en s'accrochant bien à la célébrité de son patronyme pour séduire l'éditeur qui aurait lancé son pseudo roman à la poubelle si elle s'était appelée Brigitte Dupont.
On a entre les mains un morceau de journal intime, haché menu en paragraphes écourtés fait de phrases courtes et denses. Les 187 pages imprimées en gros caractères une fois resserrées sans les trous et saut de pages nous donnent 90 pages normales. C'est pourquoi on note dans les commentaires de nombreux lecteurs ravis d'annoncer qu'ils ont dévoré le chef d'oeuvre en une journée, alors que d'habitude il leur une bonne semaine. C'est la principale qualité de Constance qui a le souci de faire court avec ce qu'il faut d'ingrédient fesses.